L’artiste français renommé Léo Caillard possède une vision créative distinctive qui transcende les frontières conventionnelles. En mêlant harmonieusement des époques disparates au sein de ses œuvres, il captive les publics par son approche artistique unique. Avec un nombre important de followers sur Instagram, l’œuvre de Caillard a orné les salles d’institutions prestigieuses, aux côtés d’artistes internationaux renommés. En embrassant le domaine des NFT, l’approche de Caillard repose sur des éditions limitées et des pièces uniques qui promettent d’évoluer vers une collection mondiale, explorant les thèmes du temps et de l’histoire.
L’art de Caillard constitue une exploration captivante de la relation de l’humanité avec le temps. En juxtaposant différentes périodes historiques et en adoptant l’anachronisme, il invite les spectateurs à contempler le présent à la lumière de notre passé collectif. Inspiré par l’investigation scientifique et les enjeux sociétaux contemporains, Caillard nous incite à reconsidérer notre ère actuelle à travers le prisme de l’histoire, favorisant un dialogue qui s’étend vers l’avenir.
Né à Paris, en France, en 1985, Caillard appartient à une nouvelle génération d’artistes façonnée par l’impact transformateur de l’ère numérique. Avec un vif intérêt pour la technologie et la science, son exploration de thèmes tels que le temps et la physique quantique l’a conduit à embrasser une carrière artistique. Diplômé de l’École des Gobelins en 2008, il s’est plongé dans l’étude de l’histoire de l’art tout en perfectionnant ses compétences en photographie et en explorant les domaines de la 3D et des nouveaux médias.
« Mon parcours a été guidé par le désir de décoder le monde et de révéler ses vérités sous-jacentes. Si ma quête initiale m’a conduit vers l’investigation scientifique, c’est finalement le domaine artistique et conceptuel qui a retenu mon attention. Je cherche à défier les notions établies et à susciter un dialogue entre différentes époques, notamment à l’heure où nous traversons un moment pivot de l’histoire. »
« Malgré l’immensité du temps qui nous sépare de nos origines gréco-romaines, je crois que notre lien avec le passé demeure profondément pertinent. Les questions entourant le mythe, la légende et l’histoire servent de métaphores pour les préoccupations contemporaines, offrant des perspectives essentielles pour naviguer dans notre réalité présente. »
Dans les années 2010, Caillard a commencé à être reconnu pour ses œuvres évocatrices, notamment la série « Art Game », qui remettait en question le rôle de l’art numérique dans les musées traditionnels. Des séries ultérieures, telles que « Hipsters in Stone », ont attiré l’attention pour leur exploration des normes sociales et de l’identité individuelle à travers le prisme de la sculpture classique.
« Ma pratique artistique se présente généralement sous forme de séries, chacune soigneusement conçue pour transmettre un concept ou un thème spécifique. Avec ‘Hipsters in Stone’, j’ai cherché à défier les perceptions en habillant des statues classiques avec des vêtements contemporains, brouillant les frontières entre passé et présent, et incitant les spectateurs à reconsidérer leurs préjugés. »
Depuis 2013, Caillard a continué à approfondir son exploration du temps et de l’histoire, produisant des sculptures qui marient l’esthétique classique aux sensibilités modernes. Son expérimentation continue avec la lumière et la pierre a donné lieu à des œuvres poétiques et visuellement frappantes explorant l’interaction entre la solidité et l’abstraction.
Alors que son œuvre évolue, les influences artistiques de Caillard présentent des parallèles avec des personnalités contemporaines telles que Damien Hirst, Jeff Koons et Olafur Eliasson. Cependant, il s’identifie à un mouvement contemporain nouveau et distinct, caractérisé par un regain d’intérêt pour les cultures classiques et un rejet des récits temporels linéaires.
« Dans le paysage artistique en évolution rapide d’aujourd’hui, je me retrouve aligné avec un mouvement qui cherche à réclamer le passé comme source d’inspiration pour l’avenir. Cet ethos de ‘néo-Renaissance’ remet en question les notions conventionnelles de progrès, nous invitant à adopter une vision plus interconnectée de l’histoire et de la société. »
« Alors que nous affrontons les incertitudes de l’avenir, je crois que le fait de nous tourner vers nos racines gréco-romaines ouvre la voie vers un monde plus significatif et plus beau. Ce mouvement, dont je suis fier de faire partie intégrante, pourrait être décrit au mieux comme du ‘néoclassicisme’, un dialogue entre passé et présent qui pose les fondations d’un avenir meilleur. »
Renowned French artist Léo Caillard possesses a distinctive creative vision that transcends conventional boundaries. Seamlessly blending disparate eras within his works, he captivates audiences with his unique approach to artistry. With a substantial following on Instagram, Caillard’s oeuvre has graced the halls of prestigious institutions, standing shoulder to shoulder with acclaimed international artists.
Embracing the realm of NFTs, Caillard’s approach involves limited editions and one-of-a-kind pieces that promise to evolve into a global collection, exploring themes of time and history. Caillard’s art serves as a compelling exploration of humanity’s relationship with time. By juxtaposing different historical periods and embracing anachronism, he invites viewers to contemplate the present in light of our collective past. Inspired by scientific inquiry and contemporary societal issues, Caillard challenges us to reconsider our current era through the lens of history, fostering a dialogue that extends into the future. Born in Paris, France in 1985, Caillard belongs to a new generation of artists shaped by the transformative impact of the digital age.
With a keen interest in technology and science, his exploration of themes such as time and quantum physics led him to pursue a career in art. Graduating from École des Gobelins in 2008, he delved into the study of art history while honing his skills in photography and delving into the realms of 3D and new media. « My journey has been driven by a desire to decode the world and uncover its underlying truths. While my initial pursuit led me to scientific inquiry, it was ultimately the artistic and conceptual realm that spoke to me. I seek to challenge established notions and provoke dialogue between different epochs, particularly as we navigate a pivotal moment in history. » « Despite the vast expanse of time that separates us from our Greco-Roman origins, I believe that our connection to the past remains profoundly relevant. Questions surrounding myth, legend, and history serve as metaphors for contemporary concerns, offering insights that are essential for navigating our present reality. » In the 2010s, Caillard began to gain recognition for his thought-provoking works, including the ‘Art Game’ series, which questioned the role of digital art within traditional museum settings. Subsequent series, such as ‘Hipsters in Stone,’ garnered widespread attention for their exploration of social norms and individual identity through the lens of classical sculpture.
« My artistic practice often takes the form of series, each meticulously crafted to convey a specific concept or theme. With ‘Hipsters in Stone,’ I sought to challenge perceptions by dressing classical statuary in contemporary attire, blurring the lines between past and present, and prompting viewers to reconsider their preconceptions. » Since 2013, Caillard has continued to expand upon his exploration of time and history, producing sculptures that meld classical aesthetics with modern sensibilities. His ongoing experimentation with light and stone has yielded poetic and visually striking works that explore the interplay between solidity and abstraction. As his body of work evolves, Caillard’s artistic influences draw parallels with contemporary luminaries such as Damien Hirst, Jeff Koons, and Olafur Eliasson.
However, he identifies with a new and distinctly contemporary movement, characterized by a resurgence of interest in classical cultures and a rejection of linear temporal narratives. « In today’s rapidly evolving artistic landscape, I find myself aligned with a movement that seeks to reclaim the past as a source of inspiration for the future. This ‘neo-Renaissance’ ethos challenges conventional notions of progress, inviting us to embrace a more interconnected view of history and society. » « As we confront the uncertainties of the future, I believe that looking to our Greco-Roman roots offers a path toward a more meaningful and beautiful world. This movement, which I proudly consider myself a part of, may be best described as ‘neoclassicism,’ a dialogue between past and present that lays the groundwork for a brighter tomorrow. »
À NFT Paris, un écosystème français du Web3 qui veut continuer à s’affirmer La 3ème édition du salon NFT Paris s’est tenue les 23 et 24 février au Grand Palais éphémère. C’était l’occasion pour les acteurs du Web3 de mettre en avant leur résilience malgré les défis, dans un cadre unique.
« Merci d’assister à une conférence qui ne se concentre pas sur l’IA ! » Cette déclaration, prononcée lors du discours d’ouverture de NFT Paris par Alexandre Tsydenko, co-fondateur de l’événement, reflète en effet l’engouement actuel de la tech pour l’IA. Néanmoins, il existe d’autres verticales technologiques qui cherchent à se démarquer, et l’écosystème Web3 était désireux de reprendre la vedette lors de l’événement parisien organisé les 23 et 24 février au Grand Palais éphémère, avec la majestueuse Tour Eiffel en arrière-plan.
L’événement, désormais à sa 3ème édition, a attiré 18 000 visiteurs en 2023, malgré un paysage difficile pour les NFT (jetons non fongibles). Souvent associés à tort uniquement au monde de l’art, avec des collections emblématiques comme les singes du Bored Ape Yacht Club, ces actifs numériques suscitent un intérêt croissant dans diverses industries, notamment le luxe. LVMH était d’ailleurs parmi les participants, expliquant pourquoi une telle technologie est bénéfique pour sa stratégie de développement. Traçabilité, sécurité, meilleure compréhension des clients… Les avantages sont nombreux pour les marques à une époque où le marché de l’occasion est en plein essor.
« L’écosystème français du Web3 se professionnalise, il devient plus premium » Cette vision innovante a été l’une des premières mises en œuvre par Arianee. Depuis 2017, cette structure, née de l’initiative des fondateurs de Vestiaire Collective, Alexandre Cognard et Christian Jorge, et de Frédéric Montagnon, figure clé de l’écosystème de la blockchain, vise à rassembler des concurrents d’une même industrie autour d’un système d’information commun pour fournir aux clients un certificat d’identité numérique pour chaque produit fabriqué.
Après avoir traversé une année « paradoxale », selon les propres termes du co-fondateur et PDG d’Arianee, Pierre-Nicolas Hurstel, celui-ci estime que la communauté Web3 est à un moment clé de son histoire. « L’écosystème français du Web3 se professionnalise, il devient plus premium. Quand les temps sont durs, ce sont les acteurs les plus structurés avec la proposition de valeur la plus sérieuse qui restent. NFT Paris reflète cette maturité », dit-il. Ce n’est pas un hasard si Arianee est le principal sponsor du salon parisien. « Je pense qu’il est extrêmement important pour une industrie d’avoir l’événement leader mondial chez soi. De nombreux acteurs du secteur viennent du monde entier pour cet événement, et cela profite à l’ensemble de l’écosystème. Nous avons un rôle à jouer pour être l’un des moteurs de l’industrie. Nous assumons ce rôle en participant à cet événement », ajoute Pierre-Nicolas Hurstel.
Les créateurs de Bored Ape et le métavers résistent
Bien que l’événement soit l’occasion de réunir les principaux acteurs de l’écosystème Web3 pendant deux jours pour évaluer les progrès réalisés et les prochaines étapes à suivre pour le renforcer, il revêt une dimension particulière lorsqu’on s’éloigne des scènes de conférences. En effet, NFT Paris ressemble davantage à une exposition ou à une Fashion Week dans les allées du Grand Palais éphémère par rapport à un salon traditionnel. De nombreuses œuvres numériques sont présentées au public sur différents stands, et il n’est pas rare de croiser des visiteurs arborant un look « fashion », avec des lunettes de soleil et certains portant même des sacs à dos à LED pour afficher des NFT.
L’événement est également l’occasion de constater que certains acteurs ne sont pas encore prêts à baisser les bras. C’est notamment le cas de Yuga Labs, lancée par les créateurs de Bored Ape, qui a connu une année 2023 cauchemardesque marquée par des plaintes d’investisseurs aux États-Unis et une restructuration pour faire face à un contexte plus difficile. En 2022, Yuga Labs était sur une trajectoire complètement différente et avait notamment fait sensation en acquérant leur rival, Larva Labs. Avec cette acquisition, Yuga Labs avait ainsi le contrôle des deux principales collections de NFT sur le marché. Cette opération n’est pas passée inaperçue auprès d’Andreessen Horowitz, qui a mené une levée de fonds de 450 millions de dollars dans l’entreprise quelques mois plus tard, la valorisant à 4 milliards de dollars. La situation est radicalement différente aujourd’hui…
Dans les allées de NFT Paris, il était également difficile de manquer le stand d’Animoca, un acteur majeur de l’industrie du jeu vidéo dans le Web3, qui détient notamment The Sandbox. La plateforme, créée en 2011 par deux Français, Arthur Madrid et Sébastien Borget, continue son ascension alors que le terme « métavers » a complètement disparu (ou presque) des discussions et des événements technologiques depuis l’année dernière. Alors que Meta a complètement manqué son coup dans le secteur, gaspillant des milliards de dollars au passage avant de se recentrer sur l’IA, The Sandbox se distingue par son approche ludique, qui lui permet de continuer à attirer des utilisateurs du monde entier, notamment avec une forte croissance sur le marché asiatique.
« Il faut être un peu prudent avec l’hyper-décentralisation » Enfin, à NFT Paris, nous rencontrons des acteurs bien connus de l’écosystème crypto, qui ne participent au salon parisien qu’en tant qu’observateurs. C’est le cas notamment d’Alexandre Dreyfus, l’entrepreneur derrière la blockchain Chiliz et la plateforme Socios.com, qui permet aux clubs sportifs d’offrir une nouvelle façon d’engager leur communauté de fans grâce aux jetons de fans. « Je le vois plus comme une exposition d’art technologique. Ce n’est pas le CES. Nous utilisons la même technologie, mais nous ne sommes pas vraiment dans le même univers. Il n’y a pas beaucoup d’entreprises françaises visibles à l’étranger dans mon univers, qui est le trading de NFT », dit-il à Maddyness.
Cependant, l’événement a le mérite de pouvoir confronter différentes visions concernant le Web3. « L’ironie du Web3, c’est que les plateformes ne possèdent pas les données de leurs utilisateurs. L’utopie d’un monde où tout est décentralisé n’est pas nécessairement réaliste en termes de besoins commerciaux. Il est essentiel de bien comprendre vos clients. Donc je pense qu’il faut être un peu prudent avec l’hyper-décentralisation », ajoute-t-il. Pour sa part, Alexandre Dreyfus souhaite continuer à déployer sa blockchain pour en faire une référence dans le domaine du sport. « Nous sommes une blockchain sportive et de divertissement. Nous ne sommes pas là pour changer le monde ou remplacer le dollar ou le bitcoin », assure l’entrepreneur français basé à Malte.
« C’est un moment vraiment unique » En attirant des acteurs qui ne sont peut-être pas nécessairement son public cible initial, NFT Paris confirme que l’événement se positionne comme un rassemblement majeur pour la communauté Web3. En témoignage de l’impact mondial du salon, Coinbase n’a pas hésité à débaucher Côme Prost-Boucle, co-fondateur de NFT Paris, pour le nommer Country Manager France. Cette annonce est intervenue quelques jours seulement avant l’édition 2024 de NFT Paris.
Lors de l’ouverture de la conférence, Alexandre Tsydenko, l’autre co-fondateur de la conférence, a souligné la période actuelle que vit l’écosystème Web3 : « Nous ne sommes plus dans la phase de lancement, mais nous ne sommes pas encore mainstream. C’est un moment vraiment unique. » Et Pierre-Nicolas Hurstel a posé une question cruciale quelques minutes plus tard : « Comment pouvons-nous devenir mainstream ? » Ce sera le prochain jalon pour Arianee et d’autres acteurs du secteur pour que leurs technologies deviennent aussi indispensables que les semi-conducteurs aux mains de centaines de millions de personnes dans le monde entier.
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