Prix Ellipse 2024 Bénin – Finaliste Maria Adjovi

Interview with Maria Adjovi at Beaux-Arts de Paris, finalist of Ellipse art projects prize 2024 AKAA – Also Known As Africa Institut français du Bénin 🎨🗼🌍

📽 Théo Pitout / Observascope Production

#ellipseartprojects #benin #art #beauxartsparis #painting #observascope #africa #agency #Films #interview

Maria Adjovi

Finaliste du prix ellipse dédié au Bénin

Après des études à l’Ecole Supérieure d’Administration d’Economie et des métiers de l’Audiovisuel au Bénin, cette dernière rejoint les Beaux-Arts de Paris, France.

Inspirée par son éducation théologique et désireuse de créer son propre langage artistique, elle réinvestit les codes religieux, explorant des allégories de sa propre pénitence.

Des symboles religieux au service de son absolution

À travers la représentation de figures féminines, elle souhaite partager des récits intimement liés à son parcours personnel, offrant ainsi une part d’elle-même dans chacune de ses toiles.

« Quand je peins, je recherche la vérité. Elle défile à travers mes regards croisés, le temps qui s’échappe; le déroulement de mes moments d’existence. »

C’est au sein des Beaux-Arts de Paris que nous nous sommes entretenus avec Maria Adjovi, peintre béninoise également finaliste du Prix ellipse 2024. Perpétuellement à la recherche d’amour et de réponses, Maria Adjovi puise son inspiration dans son récit personnel et dans le monde qui l’entoure afin d’accéder à une forme de vérité. Ayant grandi suivant les règles catholiques, elle réinvestit aujourd’hui les codes de la Renaissance italienne afin de laisser place à sa vulnérabilité, longtemps réprimée au profit d’une pudeur exigée. Propos recueillis en juin dernier à Paris, France. __

 It was at the Beaux-Arts of Paris that we interviewed Maria Adjovi, a Beninese painter also finalist of the 2024 ellipse Prize. Always searching for love and answers, Maria Adjovi draws inspiration from her own narrative and the world surrounding her to access a form of truth. Having grown up following Catholic rules, she now reinvests the Italian Renaissance’s codes to express her vulnerability, which was repressed since a long time in favor of required modesty. Interviewed last June in Paris, France.